C'est à bon droit que le client, victime d'une escroquerie commise par un tiers non identifié ayant procédé à un virement frauduleux, recherche la responsabilité du banquier. Quand bien même le client a fait usage de son code confidentiel pour valider le virement litigieux, il n'est pas démontré qu'il l'a communiqué par téléphone, email, chat ou sur les réseaux sociaux comme le mettait en garde la banque mais qu'il...