L’autorité de contrôle d’un État membre peut, dans le cadre de son pouvoir d’adoption de mesures correctrices, ordonner d’office, c’est-à-dire indépendamment de toute demande présentée par une personne concernée, l’effacement de données ayant fait l’objet d’un traitement illicite. Un tel effacement peut aussi bien viser les données collectées auprès de cette personne que celles provenant d’une autre source....