Le cadre juridique applicable aux « lanceurs d'alerte » dans la fonction publique est précisé
Dans circulaire rendue disponible le 10 juillet, le ministère de la Transformation et de la fonction publiques définit le cadre juridique applicable aux « lanceurs d'alerte » dans la fonction publique.
Cette circulaire précise comment les signalements sont recueillis et traités, ainsi que les garanties et protections dont bénéficient les agents.
Elle a été élaborée à la suite à l'entrée en vigueur de la
La circulaire :
- comprend une annexe qui explique comment l'obligation de signaler les crimes et délits au procureur de la République (en vertu de l') s'articule avec le dispositif d'alerte issu de la
- identifie les agents publics qui peuvent lancer une alerte et les destinataires de celle-ci ;
- précise les faits et actes qui peuvent être signalés ;
- présente la procédure interne de recueil et de traitement des signalements. Le recours à cette procédure est encouragé lorsque les informations ont été recueillies dans un cadre professionnel et que l'auteur du signalement estime qu'il est possible de remédier efficacement à la violation par cette voie sans s'exposer à un risque de représailles ;
- explique comment le dispositif d'alerte mis en place par la
- expose les protections dont bénéficient les agents publics qui effectuent un signalement, ainsi que, le cas échéant, les agents mis en cause par le signalement.