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Une demande d’asile fondée sur une conversion religieuse intervenue après avoir quitté son pays d’origine ne peut être automatiquement rejetée

Jurisprudence

La CJUE, dans un arrêt du 29 février 2024, juge que la reconnaissance du statut de réfugié à la suite d’une demande ultérieure, fondée sur un risque de persécutions découlant de circonstances que le demandeur a créées de son propre fait, depuis le départ de son pays d’origine, ne peut être conditionnée au fait que le demandeur ait déjà affiché ces convictions dans ce pays. La Cour précise ainsi les conditions et les limites dans lesquelles les États membres peuvent reconnaître l’existence d’un besoin de protection internationale pour des activités menées par un demandeur d’asile après son départ du pays d’origine, c’est-à-dire, « sur place »....

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