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Stricte parité « chabadabada » imposée aux maires adjoints de Plourhan

Jurisprudence

C'est par un déféré que le préfet des Côtes-d'Armor a demandé et obtenu du TA de Rennes qu'il annule l'élection de cinq adjoints au maire de la commune de Plourhan. Pour quel motif ? Parce que les cinq édiles étaient constitués comme suit : un homme / une femme / un homme puis deux femmes. Or, depuis que la France a franchi le cap nécessaire d'une parité active puisque, d'eux-mêmes, les hommes politiques n'y parvenaient pas, des systèmes de listes et de compositions comme celle dites « chabadabada » (en référence à la chanson du film « Un homme et une femme », Claude Lelouch, 1966) imposent la présence alternative d'un représentant de chaque...

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