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Négociation salariale de branches : où en est-on ?

Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a présidé le 14 juin une nouvelle réunion du comité de suivi de la négociation salariale de branches avec les partenaires sociaux. Cette réunion, qui a permis de faire un « bilan des négociations salariales dans les 171 principales branches professionnelles », a « plus particulièrement porté sur la conformité des minima de ces branches au SMIC », indique le ministère dans un communiqué.

Les participants ont pu partager le constat d’un « nombre élevé de branches affichant des salaires minimums inférieurs au SMIC », ce qui s’explique par les revalorisations successives du SMIC en cours d’année. « Récemment, la revalorisation du SMIC au 1er mai 2023 a fait basculer le nombre de branche ayant des minima inférieurs au SMIC à 147 sur 171 branches suivies. » Et le ministère de préciser qu’« au 9 juin 2023, ce nombre s’élevait à 140, ce qui s’explique par le fait que de nombreuses branches sont toujours en train de négocier sur la revalorisation de leurs minima ».

« Le nombre de branches affichant des minima structurellement inférieurs au SMIC, c’est-à-dire depuis au moins mai 2022, est exceptionnellement faible : neuf branches au lieu d’une vingtaine habituellement. De nombreuses branches dont les minima étaient très durablement inférieurs au SMIC sont parvenues à un accord. »

Olivier Dussopt a indiqué qu’il continuerait à assurer un suivi régulier des négociations salariales dans les branches et « mobiliser si besoin tous les leviers à sa disposition pour garantir la signature d’accords conformes au SMIC, que ce soit le placement en commission mixte paritaire ou, dans les cas qui le justifieraient, la restructuration des branches disposant durablement de minima inférieurs au SMIC ».