accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

Exécution d'un MAE : la CEDH précise les conditions d'application de la présomption de protection équivalente

Jurisprudence

La CEDH, dans un arrêt du 25 mars 2021, condamne la France pour avoir remis à la Roumanie une personne malgré les risques réels de traitements inhumains et dégradants en raison des conditions indignes de détention. C'est la première fois que la Cour condamne un État pour avoir exécuté un mandat d'arrêt européen (MAE). Dans le même arrêt, elle refuse en revanche de condamner la France pour la remise d'une autre personne alors que la protection équivalente n'était pas applicable et que l'intéressé avait la qualité de réfugié. Ces affaires ont conduit la Cour à préciser les conditions d'application de la présomption de protection...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit