accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

Retrait de permis de construire obtenus par fraude et sécurité juridique : le maintien du retrait possible à tout moment

Il résulte d'une jurisprudence établie qu'un acte obtenu par la fraude doit pouvoir être retiré à tout instant car la tâche qui a maculé le principe de légalité doit toujours pouvoir être ôtée (V. CE, 12 déc. 1986, n° 57214 : JurisData n° 1986-045883 ; Lebon, p. 279). Parallèlement, il résulte de la création prétorienne issue de l'arrêt Czabaj (CE, ass., 13 juill. 2016, n° 387763 : JurisData n° 2016-013776 ; Lebon 2016, p. 340 ; Dr. adm. 2016, comm. 63 ; Procédures 2016, comm. 312 ; JCP A 2017, 2053, chron. O. Le Bot ; JCP G 2016, 1396) que, sans porter atteinte au droit au recours (selon la formule benoîtement performative du Conseil d'État), le « principe de sécurité juridique (…) implique que ne puissent être remises en cause sans...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit