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Reconnaissance très partielle de la responsabilité de l’État en matière de pollution atmosphérique

Dans la lignée de l’arrêt ClientEarth, le tribunal administratif de Montreuil reconnaît que l’État a commis une faute du fait de l’insuffisance du plan de protection de l’atmosphère d’Île-de-France et de ses conditions de mise en œuvre qui n’ont pas permis de remédier au dépassement des valeurs limites de qualité de l’air entre 2012 et 2016. Par contre, aucune carence fautive ne peut être reprochée au préfet de police de Paris dans la gestion du pic de pollution particulaire de décembre 2016, d’une durée et d’une intensité pourtant...

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