accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

À propos de la condition d'urgence du référé-suspension en matière de retrait d'un EPCI

Le référé-suspension est subordonné à deux conditions : l'urgence et l'existence d'un doute sérieux quant à la légalité de l'acte attaquée. La première donne lieu à des appréciations casuistiques que le juge s'efforce de simplifier en consacrant, pour certaines hypothèses, une présomption d'urgence. Tel est le cas lorsque qu'« un arrêté préfectoral a pour objet de modifier la répartition des compétences entre une collectivité territoriale et un groupement de collectivités territoriales ou entre deux groupements de collectivités territoriales » (CE, 30 déc. 2009, n° 328184 : JurisData n° 2009-017447 ; Lebon T. 2009, p. 893 ; JCP A 2010, act. 40 : en l'occurrence, modification des statuts d'un EPCI ; ou encore, CE, 17 mars 2017, n° 404891,...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit