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Pas d’abus de la liberté d’expression en rapprochant la stigmatisation des couvertures ou articles de Charlie Hebdo du sort tragique de ses journalistes

L'association n’est pas fondée en sa demande de dommages-intérêts sur le fondement de la diffamation publique envers un particulier. Au cours d'une émission télévisée, un philosophe écrivain a cité l'association, parmi d'autres personnalités, comme ayant justifié idéologiquement la mort des douze journalistes de Charlie Hebdo. Or, l'assassinat des membres de la rédaction de Charlie Hebdo est un fait objectif. Ses auteurs ont indiscutablement réagi à une conception de la laïcité considérée comme blasphématoire, notamment par l'association demanderesse. Dès lors, le fait de rapprocher une stigmatisation des couvertures ou articles du journal satirique avec le sort tragique de ses journalistes n'a rien d'illégitime. L'auteur d'un tel...

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