accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

Les banques françaises ont porté près de la moitié de la hausse des crédits aux sociétés non financières et aux ménages de la zone euro en 2017 #Brève

Après une forte accélération en 2014, la croissance de la masse monétaire de la zone euro (M3) est stable depuis 2015 (+ 4,6 % en 2017) et provient principalement de la progression des dépôts à vue. Depuis fin 2016, la composante française croît plus vite que l’agrégat M3 de la zone euro. Sa hausse atteint 8,3 % en janvier 2018, soit trois points au-dessus de celle de l’agrégat M3. Soutenus par des taux d’intérêt bas et par le programme d’achats de titres publics par l’Eurosystème, les concours aux secteurs privé et public constituent les principales sources de création monétaire, aussi bien en France qu’en zone euro. Au sein du secteur privé, près de la moitié des flux annuels de crédits aux sociétés non financières (SNF) et aux ménages...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit