accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

Impartialité rassurante et pragmatique en milieu académique

À l’automne dernier, le Landernau académique qu’est l’Université s’était ému – à juste titre selon nous – d’une décision du Conseil d’État (CE, 17 oct. 2016, n° 386400, Université de Nice-Sophia Antipolis : JurisData n° 2016-021639 ; JCP A 2016, act. 841 ; Dr. adm. 2016, al. 147) qui laissait entrevoir des difficultés pratiques en termes de constitution des comités de sélection chargés de procéder aux recrutements, en Universités, des enseignants-chercheurs. En effet, la décision – au nom du principe essentiel et fondamental d’impartialité (qui doit effectivement incarner l’alpha et l’oméga de tout concours des fonctions publiques) avait laissé entendre à certain(e)s qu’il serait désormais quasiment impossible de constituer un tel comité...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit