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Faute du médecin caractérisée par la prescription de médicaments sans précaution #Brève

La victime, suivie depuis plusieurs années par son médecin généraliste, est décédée des suites d’un surdosage de morphine. La responsabilité du médecin ne saurait être écartée du seul fait qu'il a respecté les prescriptions de la Haute Autorité de Santé alors qu'on lui reproche, en sa qualité de professionnel de santé, de ne pas avoir tenu compte dans ses prescriptions et leur posologie de l'état psychologique et physique de son patient, ancien toxicomane sous Subutex, diagnostiqué comme personne "borderline", trouble psychiatrique dont il était parfaitement informé. C’est vainement qu’il affirme que les prescriptions journalières (150 mg pour les trois médicaments) ne pouvaient aboutir à la concentration dans le sang de 570 mg/ml relevée...

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