Un centre commercial et de loisirs, qui permet la création de plus de 1 500 emplois, aurait pu constituer une raison impérieuse d’intérêt public majeur et justifier ainsi la dérogation que lui avait accordée le permis de construire de braver l’interdiction d’affecter la conservation d’espèces animales ou végétales protégées et de leurs habitats (C. envir., art. L. 411-1 et L. 411-2). Mais le secteur d’implantation...